26 décembre 2008

Dessin : bientôt un service VOD sur la Nintendo Wii - PC INpact


Trop bien! :)


Hyundai : une montre téléphone Publié le mardi 16 octobre 2007par Emilien Ercolani
Le constructeur Hyundai a présenté une nouvelle montre particulière, puisqu’elle fait également téléphone. Voici que débute l’ère des montres-téléphones.
Le constructeur Hyundai a présenté une nouvelle montre particulière, puisqu’elle fait également téléphone.
Voici que débute l’ère des montres-téléphones.
Le constructeur Hyundai surprend en présentant cette nouvelle montre W-100, équipée d’une caméra 1,3 Mégapixels.
Bien entendu, téléphoner avec ce genre d’outil pourra surprendre si vous vous baladez dans la rue en parlant à votre poignet ! Toutefois, il sera possible de se prendre pour un super espion, et prendre des photos très discrètement grâce à cette petite caméra intégrée. Apparemment, elle aura même un petit stylet, ce qui voudrait dire que l’écran serait tactile…
Toutefois, aucun prix n’a encore été avancé, ni aucune date de disponibilité.


Crédit photo : Phonedaily

17 décembre 2008

Le super trike made by "Orange County Shopper" (OCC)

Le super trike créé par OCC pour un handicapé: Boite auto avec gros moteur, ils ont rajouté une marche arrière... Poid quand même de 350 Kg! La plateforme à l'arrière permet au gars de poser son fauteuil
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États-Unis : Les femmes préfèrent se passer de sexe que de Net - PC INpact

États-Unis : Les femmes préfèrent se passer de sexe que de Net - PC INpact: "Les femmes sont-elles à ce point délaissées par leur conjoint ou leurs concitoyens qu'elles préfèrent passer leur temps sur le Net plutôt que d'avoir une réelle partie de plaisir dans un sport de chambre ? C'est en tout cas ce qu'une étude, organisée par Harris Interactive et Intel tend à montrer.
Selon les résultats, 46 % des femmes américaines préfèrent renoncer au sexe durant deux semaines plutôt que de se priver d'Internet, alors que seuls 30 % des hommes sont dans ce cas. Une connexion précieuse ouverte sur un monde de fantasmes diront certains, quand d'autres répondront que non, une Américaine sur deux étant obèse, on comprend mieux leur dépendance...

En tout, 2119 adultes ont répondu avec sincérité sur leur relation à la Toile : il en résulte que généralement, le Net est devenu une addiction pour laquelle on est disposé à diminuer ses dépenses en restaurant, télévision ou même vêtements et salle de gym, pour s'assurer que l'on conservera sa précieuse connexion. Ainsi, 62 % des femmes se priveraient plus volontiers de télé durant deux semaines plutôt que de ne pas avoir un accès solide à Internet.
Toutefois, il n'y a pas que le sexe dans la vie : pour 78 % des répondants, Internet a grandement amélioré leurs capacités à rester en contact avec leur famille ou leurs amis et pour 47 %, la gestion de leurs finances a été amplement simplifiée grâce au Web.Au final, on compte que 65 % des répondants ont le sentiment de ne pas pouvoir vivre sans le Net, et que pour 71 % d'entre les sondés, la connexion représente quelque chose d'important, voire de très important dans leur vie. Pour ces 71 % justement, la prolifération d'outils permettant de se connecter bien plus facilement - netbooks, smartphones, etc. - représente un progrès. La tranche d'âge sondée pour cette étude ciblait les 18-34 ans.Même combat en AngleterreEn parallèle, un même type de sondage a été réalisé en Angleterre auprès des femmes au foyer, lesquelles assurent que leur temps libre, elles le passent à 47 % d'entre elles devant l'écran, à chatter. C'est plus (+) même que les étudiants qui ne sont que 39 % à pratiquer Internet durant leur temps libre. Pour les chômeurs qui disposent d'une connexion, le Web ne représente que 32 % de ce temps vacant."

16 décembre 2008

Obama s'attaque au changement climatique - Amériques - Le Monde.fr#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208

Obama s'attaque au changement climatique - Amériques - Le Monde.fr: Steven Chu, lauréat du prix Nobel de physique 1997 et avocat des énergies renouvelables, a été nommé à la tête du secrétariat à l'énergie de l'équipe de Barack Obama, a annoncé, lundi 15 décembre, le président nouvellement élu. Il sera son fer de lance dans la lutte contre le changement climatique, thème dont ce chercheur d'origine chinoise est un spécialiste reconnu.

Très alarmiste, Steven Chu, 60 ans, va à coup sûr trancher à Washington avec l'attitude de l'administration Bush, qui n'a que récemment reconnu le lien entre l'activité humaine et le dérèglement du climat. Le réchauffement de la planète risque de s'accompagner "de catastrophes soudaines, imprévisibles et irréversibles (...) d'une ampleur différente de tout ce que l'on a connu jusqu'à présent", avertissait-il le mois dernier dans un entretien diffusé sur Internet. Pour Steven Chu, le dernier rapport du groupe international d'experts sur le changement climatique (GIEC) – qui a évalué en 2007 entre + 1,8 et + 4 °C la hausse la plus probable de la température moyenne mondiale d'ici à la fin du siècle – sous-estime le problème.

Steven Chu, premier représentant de la communauté asiatique à diriger un département fédéral, travaillera en collaboration avec Carol Browner, ancienne directrice de l'Agence de protection de l'environnement (EPA), que le futur président des Etats-Unis a nommée à la tête d'un nouveau conseil de coordination rattaché à la Maison Blanche, qui interviendra sur l'énergie, le climat et l'environnement.

"Pour maîtriser son propre destin, l'Amérique doit développer de nouvelles formes d'énergie et de nouveaux moyens de les utiliser. Et ce n'est pas un défi pour le seul gouvernement. C'est un défi pour chacun de nous", a indiqué le président élu. Il a par ailleurs nommé Lisa Jackson, actuelle directrice de cabinet du gouverneur du New Jersey, à la tête de l'EPA.

Nancy Sutley, maire adjointe de Los Angeles, dirigera quant à elle le conseil de la Maison Blanche pour la qualité de l'environnement, a poursuivi M. Obama. Enfin, le futur président devrait attribuer le secrétariat à l'intérieur, qui supervise l'octroi des concessions pétrolières, au sénateur du Colorado, Ken Salazar, dit-on de source démocrate.
Le nouveau président américain a reconnu lundi qu'il n'avait "pas de boule de cristal" pour prédire l'avenir économique de son pays, tout en insistant sur les effets attendus de son plan d'investissements massifs dans les infrastructures et l'innnovation. L'équipe nommée par Barack Obama aura également un rôle à jouer dans la relance de l'économie par la création de milliers d'emplois verts et la promotion des alternatives au pétrole. Depuis le premier choc pétrolier en 1974, plusieurs de ses prédécesseurs se sont engagés à réduire la dépendance des Etats-Unis à l'égard des hydrocarbures. L'ancien sénateur de l'Illinois, qui a commencé à esquisser un vaste plan de relance de l'économie et promis la création de 2,5 millions d'emplois, a déclaré que beaucoup devraient être des emplois verts, notamment dans le développement des énergies éolienne et solaire ainsi que dans la recherche automobile.

15 décembre 2008

Courrier international, IRAK • Bien fait pour Bush !

Courrier international, IRAK • Bien fait pour Bush !: "Un journaliste irakien a lancé ses chaussures au visage du président américain lors d'une conférence de presse organisée à Bagdad le 14 décembre. Ce geste de défiance a été salué par plusieurs éditorialistes arabes.

Il y a déjà une chaussure qui est entrée dans l'Histoire. C'est celle peinte par Vincent Van Gogh. Aujourd'hui, il y a une paire de chaussures qui est entrée dans l'actualité. C'est celle du journaliste irakien Montazer Al-Zeidi. Hier, il a écrit un hymne à la mémoire des millions de victimes et d'opprimés de la Terre, et il a crié vengeance. Ah, si seulement ses chaussures avaient atteint George Bush ! Ses hématomes lui auraient rappelé tout le mal qu'il a infligé au monde pendant les huit années qu'il a été au pouvoir, la destruction de l'Irak et les souffrances de ses habitants, le drame des Palestiniens, les massacres en Afghanistan et l'écrasement de tous les autres pays par les marines américains et les avions de l'OTAN.

L'air benêt de Bush n'a rien arrangé, quand il a essayé de s'en tirer par une blague en disant que la seule chose qu'il avait retenue était la pointure de ces chaussures. Il a voulu faire comme s'il n'avait pas vu toute cette haine accumulée chez les Irakiens, les Arabes, les musulmans et tous les autres peuples du monde. Voilà le jugement réservé au tyran qui a ensanglanté le monde et transformé la vie des hommes en enfer. Voilà le jugement de l'Histoire, une histoire qu'il s'essoufflera à vouloir rattraper avec ses ruses, ses blagues débiles et ses airs hilares.

Pour des millions de personnes, Montazer Al-Zaidi, le "justicier attendu" [Montazer signifie attendu], et sa paire de chaussures auront permis d'empêcher le président américain d'oublier l'Irak après son départ de la Maison-Blanche. Il aura d'autant plus de mal à oublier qu'il a déjà été botté en touche par les Américains eux-mêmes quand ils ont tourné le dos à sa clique républicaine pour élire Barack Obama. Il y a eu les pierres de l'Intifada palestinienne. Désormais, l'arme des opprimés sera des chaussures. Les Irakiens sont ravis du geste de Montazer Al-Zaidi, tout comme les Arabes, les musulmans et les autres forces vives du monde. Tous célèbrent cette victoire symbolique. C'est le plus beau baiser d'adieu qu'on aurait pu poser sur les joues de Bush. Montazer Al-Zaidi peut être fier de son geste. Même s'il est arrêté par l'occupant américain et jeté en prison.
"

La Russie invitée à rejoindre l'OPEP - Economie - Le Monde.fr#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208

La Russie invitée à rejoindre l'OPEP - Economie - Le Monde.fr "Le président en exercice de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a souhaité, lundi 15 décembre, que la Russie rejoigne ce cartel. 'La Russie donnera une importance particulière à l'OPEP si elle la rejoignait, cela augmenterait la puissance de l'OPEP en terme de contrôle de la production, qui serait aux environs de 50 % au lieu de 40 % de la production globale', a déclaré Chakib Khelil, également ministre de l'énergie algérien.

Le vice-premier ministre russe, Igor Setchine, et le ministre de l'énergie, Sergueï Chmatko, sont attendus à Oran, où se tient mercredi une réunion de l'OPEP. "C'est une délégation qui va être très forte, avec une vingtaine de personnes. Nous espérons que leur décision sera à la mesure de la représentativité de leur délégation", a encore déclaré le président du cartel.

La chute des prix du baril ces dernières semaines a resserré des liens entre Moscou et l'OPEP. Le président russe, Dmitri Medvedev, a récemment annoncé que son pays, traumatisé par la chute des cours du pétrole, n'excluait plus de rejoindre les rangs du cartel pour "défendre" ses intérêts. Mais les Russes n'ont jusqu'ici montré aucune intention de soumettre leurs exportations à de quelconques quotas.

VERS UNE BAISSE DE LA PRODUCTION

Tous les ministres de l'OPEP sont par ailleurs "favorables à une réduction" de la production de pétrole, a annoncé Chakib Khelil. Les prix du baril ont perdu plus de 70 % de leur valeur depuis leurs records de l'été proches des 150 dollars, passant même brièvement sous la barre des 40 dollars début décembre. Ils ne permettent plus aux producteurs de couvrir leurs coûts de production et d'équilibrer leurs finances. La réunion, mercredi, des ministres de l'OPEP doit donc déboucher sur une nouvelle réduction des quotas officiels de production, actuellement fixés à 27,3 millions de barils par jour.
Plus tôt dans la matinée, le baril de brut s'était apprécié de plus de deux dollars, à Londres comme à New York, après que le secrétaire général de l'OPEP, Abdallah El-Badri, a estimé que le marché avait besoin "d'une réduction d'envergure" de la production. "

George W. Bush prêt à débloquer 8 milliards de dollars pour empêcher la faillite de General Motors - CONSTRUCTION AUTOMOBILE POLITIQUE ECONOMIQUE GENERAL MOTORS

George W. Bush prêt à débloquer 8 milliards de dollars pour empêcher la faillite de General Motors - CONSTRUCTION AUTOMOBILE POLITIQUE ECONOMIQUE GENERAL MOTORS: George W. Bush prêt à débloquer 8 milliards de dollars pour empêcher la faillite de General Motors
[ 15/12/08 ]

Malgré l'échec du plan de sauvetage des « big three » au Sénat, l'administration Bush est prête à débloquer 8 milliards de dollars pour assurer la survie de General Motors jusqu'en mars.
DE NOTRE BUREAU DE NEW YORK.
A cinq semaines de son départ, George W. Bush n'est pas prêt à endosser la responsabilité de la faillite de General Motors (GM). Au lendemain de l'échec du plan de sauvetage de 14 milliards de dollars des « big three » au Sénat, qui n'a pas réuni les 60 voix nécessaires (52 voix pour et 35 contre), l'administration Bush s'est déclarée prête ce week-end à prélever une aide d'urgence de 8 à 10 milliards de dollars sur le solde des fonds déjà réservés au secteur bancaire et financier. Un revirement total dicté par le refus des sénateurs républicains de suivre les directives de la Maison-Blanche. Bien qu'initialement opposé à cette solution, le Trésor américain a entamé des discussions directes avec le patron de GM, Rick Wagoner, en vue de débloquer les fonds et d'éviter un placement imminent de l'ex-numéro un mondial de l'automobile sous le régime des faillites du Chapitre 11.

« En raison de la défaillance du Congrès, nous voulons être prêts à empêcher une faillite imminente jusqu'à ce qu'il puisse se réunir à nouveau et s'attaquer au problème de la viabilité à long terme de l'industrie automobile »

Intéressant, je croyais pourtant que congrès, parlements, efin, ces
institutions, étaient justement là comme garde fous pour éviter que le
gouvernement ne fasse tout ce qu'il veut... La démocratie américaine me surprend
de plus en plus!

12 décembre 2008

Le Sénat américain refuse d'octroyer à GM et à Chrysler l'aide nécessaire à leur survie - L'économie en crise - Le Monde.fr

Le Sénat américain refuse d'octroyer à GM et à Chrysler l'aide nécessaire à leur survie - L'économie en crise - Le Monde.fr: "Dans une interview accordée à l'agence AP, Tom LaSorda, vice-président de Chrysler, et Ron Kolka, directeur financier, ont déclaré que les liquidités du groupe tomberont à 2,5milliards de dollars, le minimum requis pour payer les salaires, les fournisseurs et faire tourner les usines. Les dirigeants voient avec inquiétude arriver le mois de janvier, l'un des mois les plus difficiles pour les ventes. 'Nous devons payer nos fournisseurs 7milliards de dollars tous les quarante-cinq jours. S'ils viennent nous demander d'être payés, ce sera juste impossible', explique M. Kolka."



Mais et nous? N'importe lequel de nos créanciers vient frapper à notre
porte, il nous fou à poil, et nous fou en prime son poing dans le cul avec du
sable! Et ces grosses sociétés, qui ont jouées des années durant sans écouter
les consommateurs, veulent maintenant notre soutient?

Ah, il est beau le capitalisme à l'Américaine! Privatiser les gains pour
nationaliser les pertes! Lénine doit bien se marrer! Moi en tout cas, je
me marre!

11 décembre 2008

LaTribune.fr - L'automobile américaine prise à son propre piège

LaTribune.fr - L'automobile américaine prise à son propre piège: "L'automobile américaine prise à son propre piège"

Pour convaincre le Congrès de ne pas alourdir les contraintes en matière de consommation de carburant, les "Big Three" ont dépensé leur argent en lobbying plutôt qu'en recherche technologique. Ils demandent aujourd'hui de l'aide publique pour échapper à la faillite, relève Lysiane J. Baudu, journaliste au service international de La Tribune.
Venus le 2 décembre demander de l'aide au Congrès, les dirigeants des trois grands constructeurs automobiles de Detroit n'avaient rien laissé au hasard. Critiqués pour avoir utilisé leur jet privé lors d'une première audition, ils sont cette fois-ci arrivés au volant des voitures les moins gourmandes en carburant... Pendant six heures de plaidoyer pro domo, ils ont battu leur coulpe. "Nous sommes ici devant vous parce que nous avons commis des erreurs — dont nous avons tiré les leçons —, et parce que des forces en dehors de notre contrôle nous ont poussés au bord du précipice", a déclaré Rick Wagoner, le patron de General Motors.
Selon les patrons des "Big Three", c'est parce que l'économie, ces dernières années, était à son zénith que les clients, les poches pleines en raison de la bulle immobilière et boursière, souhaitaient de grosses voitures. Pas question de le décevoir, donc, avec des véhicules plus petits et moins voraces en énergie, comme ceux proposés par les constructeurs japonais qui ont grignoté de belles parts de marché.
Signe que les consommateurs avaient changé, sans que Detroit s'en aperçoive. Les constructeurs américains préfèrent ne pas donner de détails sur leurs "erreurs". C'est bien là tout le problème. Non seulement ils ont failli dans leur analyse du marché, sur fond de hausse du prix du pétrole, mais, en plus, ils ont tout fait, année après année, pour faire dérailler les efforts visant à diminuer la consommation d'essence de leurs véhicules. Et les voici aujourd'hui pris à leur propre piège.
Dans le sillage du premier choc pétrolier, en 1975, le Congrès avait adopté un dispositif visant à diminuer la consommation d'essence, dans le but évident de s'affranchir — déjà ! — de la dépendance au pétrole de l'Opep. Une échelle qu'il aurait fallu périodiquement actualiser, en fonction des développements technologiques dans l'automobile. Mais, à chaque fois que les élus se sont penchés sur la question, les constructeurs sont intervenus pour faire échouer les tentatives de diminution de consommation d'essence.
Tandis que les constructeurs étrangers investissent dans la recherche sur des moteurs plus efficaces, les "Big Three" continuent de miser sur des grosses cylindrées. La raison ? Elles échappent en partie aux contraintes édictées par le Congrès pour les véhicules de tourisme. Pis, ils engloutissent des fortunes en lobbying auprès des élus, afin de les convaincre de refuser tout changement à l'avenir. Entre 2002 et 2007, ils ont réussi à faire échouer plusieurs tentatives de renforcement législatif sur la consommation d'essence.
Leur plus gros succès date de 2005. Cette année-là, une majorité d'élus acceptent une fois de plus les arguments de Detroit selon lesquels les constructeurs américains n'ont pas la technologie nécessaire pour répondre à une augmentation des contraintes en matière d'efficacité énergétique des moteurs. Et pour cause, ils n'ont pas réellement cherché à la développer !
Pour convaincre Washington, ils utilisent tous les moyens possibles : des publicités dans les radios et les journaux, et jusqu'à des éponges, estampillées "voitures propres", distribuées en abondance aux membres du Congrès, afin de valider l'argument selon lequel leurs véhicules sont désormais 99% plus propres que dans le passé. Ils insinuent même que la sécurité des citoyens américains est en jeu : s'ils doivent acheter des voitures plus petites, ils risquent de mourir dans un accident de la route face aux SUV, énormes 4×4 !
Les constructeurs américains ne se privent pas non plus de critiquer les voitures hybrides, telle la Toyota Prius. Et ils contribuent largement aux campagnes électorales, en particulier dans les États où sont présentes des usines d'assemblage. Le Michigan, où se situe Detroit, est tout désigné. D'autant qu'un de ses représentants, John Dingell, est par ailleurs président de la commission à l'Energie et au Commerce de la Chambre. Alors qu'en 2007 le Congrès débat de nouveau sur les économies d'énergie dans le secteur automobile, les constructeurs de Detroit dépensent plus de 70 millions de dollars (20% de plus qu'en 2006) en efforts de séduction vis-à-vis des élus — un record.
General Motors verse ainsi plus de 14 millions de dollars, faisant de la firme la cinquième entreprise la plus généreuse dans le domaine, derrière General Electric, ExxonMobil, AT&T et Amgen. Sur la période 2001-2006, l'industrie automobile américaine a dépensé 380 millions de dollars en lobbying et 80 millions supplémentaires en contributions pour les campagnes électorales.
Même les syndicats se sont mis de la partie: l'United Autoworkers Union a ainsi dépensé sur la même période un total de 17,2 millions de dollars pour contrer les efforts en matière de voiture plus propre et versé 23 millions dans les coffres de certains élus, démocrates en particulier. La hausse du prix du pétrole (+60% en 2007) met à mal leurs efforts: le Congrès finit par adopter un nouveau dispositif, en janvier 2008. Il augmente de 40% les contraintes en matière d'efficacité énergétique pour les voitures et les camions légers, les "light trucks".
Entre-temps, Detroit s'est également battu contre la Californie, initiatrice d'un projet visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Toujours grâce à leur lobbying, les constructeurs réussissent à faire en sorte que l'Agence de protection de l'environnement refuse de donner son feu vert à ce projet pour l'automobile, pourtant responsable d'une large part des émissions, le jour même où le président Bush signait le fameux texte de loi augmentant les contraintes sur l'efficacité énergétique des véhicules.
Reste que cette fuite en avant a provoqué une déconfiture sans précédent dans l'automobile américaine. Résultat, dans un premier temps, les "Big Three" demandent 25 milliards de dollars au Congrès, afin de mettre leurs usines à niveau et de produire des moteurs plus efficaces. Et dans un deuxième, quelque 34 milliards de dollars, cette fois-ci afin ne pas faire faillite. Et sur fond de forte dégradation du marché de l'emploi, ils sont en passe d'obtenir un premier soutien du Congrès.

Climat, relance et traité : les trois sujets de la discorde - Europe - Le Monde.fr

Climat, relance et traité : les trois sujets de la discorde - Europe - Le Monde.fr: "'Un test de crédibilité pour l'Europe' : brossant l'enjeu du Sommet européen, qui s'ouvrait jeudi 11 décembre dans une ambiance tendue, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a estimé mercredi, lors de la remise du Prix européen du livre, que les Vingt-Sept devaient montrer que 'l'Europe peut donner une réponse à ses concitoyens face à la crise et assumer son leadership sur la question du réchauffement climatique'. Les discussions risquent d'achopper sur trois sujets."
Le paquet climat-énergie. Les grands objectifs définis en mars 2007 devraient être maintenus : d'ici à 2020, il s'agit de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre, d'atteindre 20 % de renouvelables dans la consommation énergétique, et d'économiser 20 % d'énergie. Mais les Vingt-Sept s'attendent à des négociations très dures, sur les différents éléments clefs du paquet encore ouverts.
Pour faire preuve de solidarité à l'égard des nouveaux Etats membres, en pleine transition économique, la présidence française de l'Union préconise de transférer vers eux, entre autres compensations, au moins 10 % des sommes générées par la mise aux enchères des droits à polluer prévus par le dispositif de la Commission. Mais l'Allemagne et le Royaume-Uni sont réticents. Berlin suggère plutôt de créer un fonds de solidarité au sein du budget communautaire, d'un montant compris entre 40 et 50 milliards d'euros sur huit ans.
S'agissant des "fuites de carbone", c'est-à-dire le risque de délocalisation des industries les plus énergivores, l'Allemagne, et quelques pays demandent des dérogations afin, dans le cadre du mécanisme d'échange des quotas d'émission, d'attribuer des allocations gratuites aux secteurs les plus exposés, comme les producteurs de chaux et de ciment.
Quant au sort du secteur électrique, les nouveaux Etats membres exigent des exceptions pour leurs centrales au charbon, en générale très polluantes.
Le plan de relance. Les dirigeants européens s'opposent sur l'ampleur du programme européen, esquissé le 26 novembre par la Commission. Tandis que chaque pays dispose de marges de manoeuvres différentes, l'objectif d'au moins 1,5 % de la richesse européenne (soit quelque 200 milliards d'euros, financés pour l'essentiel au niveau national) est contesté par l'Allemagne, les Pays-Bas, et la République tchèque. Les Vingt-Sept vont aussi débattre de l'application des aides d'Etat et du pacte de stabilité et de croissance en période de lutte contre la récession. Ils divergent aussi sur l'idée de la Commission de réorienter 5 milliards d'euros en principe dévolus à l'agriculture, mais non affectés en 2008, afin d'investir dans les infrastructures énergétiques et les renouvelables.
Le traité de Lisbonne. Les Vingt-Sept attendent du premier ministre irlandais qu'il annonce un deuxième référendum sur le traité de Lisbonne avant la fin de 2009, alors que 25 Etats membres, sur 27, ont ratifié le texte. En échange, l'Irlande obtiendrait les garanties qu'elle demande : le respect de sa neutralité militaire, de son autonomie fiscale, de son refus d'autoriser l'avortement. Les Vingt-Sept pourraient aussi renoncer à réduire le nombre de commissaires, ou garantir un portefeuille aux Irlandais pendant une période transitoire après 2014.

Paris : journée noire pour les clients 3G d'Orange par Neteco.com

Paris : journée noire pour les clients 3G d'Orange par Neteco.com: "Aujourd'hui, Orange ne proposait (presque) pas de haut-débit mobile à Paris. Nombreux ont en effet été les clients parisiens à remarquer qu'il était impossible d'effectuer ou de recevoir des appels téléphoniques en 3G. Idem pour se connecter à l'internet mobile.

Après une panne réseau qui a touché 15% des abonnés mobiles de SFR en octobre dernier, empêchant d'utiliser son mobile pendant de nombreuses heures, c'est au tour d'Orange d'être soumis à quelques problèmes techniques moins importants et surtout plus localisés.

Contacté par Mobinaute.com, Orange France précise que le dysfonctionnement de son réseau 3G a été noté principalement dans l'ouest parisien du 9 décembre à 19 heures au 10 décembre (aujourd'hui) à 13h45. « Cette panne de réseau 3G a été rapidement détectée, nos clients ayant automatiquement été basculés sur des réseaux 2G à partir de 6 heures du matin ce jour. A cette heure, tout est rentré dans l'ordre », précise Orange France. A noter que selon nos constatations, ce problème touchait à la fois Orange et tous les MVNO et opérateurs sous licence de marque affiliés de l'opérateur.

Il ne fallait donc pas compter aujourd'hui pour les mobinautes parisiens d'Orange sur des offres de visionnage de chaines de TV mobile en 3G/3G+ ou sur d'autres contenus haut-débit mobile..."

Les demandes de GM, Ford et Chrysler s'élèvent au total à 55 milliards de dollars - LeMonde.fr

Puis-je me demander si, au moins, ces 55 milliars vont vraiment les faires bouger leur cul et proposer une vrai restructuration? GM, qui à proposé un temps un véritable véhicule électrique en californie (Voir Wikipedia: article "EV1") devrait vraiment penser à ça! Mais, avec tristesse, je crois malheureusement que ça ne va pas les faire sortir de rais véhicules "écologiques" rapidement...

Les demandes de GM, Ford et Chrysler s'élèvent au total à 55 milliards de dollars - LeMonde.fr: "Auditionnés devant le Congrès, jeudi 4 et vendredi 5 décembre, les constructeurs américains ont réclamé, à eux trois, une aide publique de 55 milliards de dollars (43 milliards d'euros) minimum. En plus des 34 milliards de dollars en prêts publics et lignes de crédit, General Motors (GM), Ford et Chrysler ont demandé que soient débloqués 17 milliards du plan de 25 milliards destiné à les aider à produire des moteurs plus écologiques. Les organismes de crédit des constructeurs ont aussi demandé l'obtention du statut bancaire pour avoir accès aux prêts octroyés par la Réserve fédérale. Le Congrès devrait se prononcer dans la semaine sur le projet de plan de sauvetage du secteur."

08 décembre 2008

Les industriels dénoncent la mascarade de la taxe copie privée - PC INpact

Les industriels dénoncent la mascarade de la taxe copie privée - PC INpact: "Le vote des prochains barèmes de la rémunération pour copie privée se fera sans trois associations d'industriels(*)

La Commission « copie privée » qui s’était réunie le 2 décembre 2008 a prévu une nouvelle réunion le 10 décembre pour entériner un nouveau barème de « Redevance pour copie privée », cette taxe qui est appliquée sur la plupart des supports vierges et qui connaîtra bientôt une hausse drastique"

En toute logique, on devait s’attendre à une baisse des barèmes puisque le Conseil d’Etat a contraint la Commission Copie privée à ne plus tenir compte du téléchargement illicite dans les études d’usages de la copie privée qui servent d’assiette à la redevance. Or il n’en est rien, comme nous le savons depuis la publication de ces futurs barèmes :« Si on pouvait s’attendre à une baisse des barèmes du fait que la redevance ne peut s’appuyer que sur les copies de sources licites comme l’a indiqué le Conseil d’Etat dans sa décision, les ayants droit proposent et imposent aujourd’hui une augmentation unilatérale et générale de 15 % sur l’ensemble des barèmes actuellement en vigueur sur tous les produits et supports assujettis depuis 2001 » regrettent les industriels, pour qui, pas de doute, « cette ‘méthode de calcul’ ignore une nouvelle fois les injonctions du Conseil d’État ».Les prochains barèmes qui consacrent une hausse quasi généralisée de 15% des montants ponctionnés au titre de la taxe copie privée, devraient sans surprise être adoptés en décembre. Ceci tient à la composition de la Commission où le collège des industriels, très hétérogène, est en minorité, puisqu’il ne compte que 6 représentants sur 24 membres (sans compter le Président). Les ayants droit, très soudés et solidaires, comptent eux 12 membres et ils trouvent souvent l’appui de certains représentants des consommateurs qui, du fait de leurs sociétaires, sont favorables au mécanisme de la taxe pour copie privée. Que les industriels partent ou restent, cela ne changera donc rien à l’issue du vote compte tenu de cette dégénérescence de démocratie. En attendant mieux, les industriels vont une nouvelle fois bouder ce vote. Faute de quorum, une réunion suivra vers le 15 sans doute, pour entériner ces barèmes durant le calme hivernal. Les nouveaux montants seront appliqués dès le début 2009, sauf surprise. Avec un plan 2012 de l’Élysée encore en mémoire vive, les industriels demandent « solennellement à M. BESSON, Secrétaire d’Etat, de mettre en œuvre les propositions qu’il a formulées dans son plan de développement de l’économie numérique, en y incorporant notamment l’adoption des décisions à la majorité qualifiée des deux tiers de ses membres ».(*) la Secimavi - syndicat des entreprises de commerce international de matériel audio, vidéo et informatique grand public, le Simavelec - Syndicat des industries de matériels audiovisuels électroniques, et le SNSII - Syndicat National des Supports d'Image et d'Information

Dessins : Flock décortique l'actu de la semaine


Dessins : Flock décortique l'actu de la semaine


05 décembre 2008

Facebook, toujours en recherche de rentabilité, ne convainc pas les investisseurs - Actualités - ZDNet.fr

Facebook, toujours en recherche de rentabilité, ne convainc pas les investisseurs - Actualités - ZDNet.fr: "Facebook, toujours en recherche de rentabilité, ne convainc pas les investisseurs"

Business - Devant la difficulté de trouver des investisseurs, le réseau social repousse un plan de rachat des actions de ses employés. La perspective de rentabilité s'éloigne alors que son modèle économique est remis en cause.
Facebook a décidé de suspendre un plan autorisant ses employés à vendre certaines de leurs actions dans le groupe, face à la difficulté de trouver des investisseurs intéressés, affirme le Wall Street Journal dans son édition du 5 décembre.
Après le départ de plusieurs cadres importants, lassés d'attendre une introduction en Bourse du réseau social, l'entreprise avait accepté en août de racheter à ses cadres une partie de leurs actions sur la base d'une valorisation d'environ 4 milliards de dollars, afin d'éviter leur fuite vers d'autres groupes.
Nervosité autour des perspectives du site
« Je vous écris cette note pour vous apprendre de mauvaises nouvelles », écrit Mark Zuckerberg, le directeur général de Facebook, dans un e-mail envoyé à ses employés. « Malgré nos efforts, nous ne sommes pas en mesure d'achever notre plan de rachat d'options de nos employés annoncé en août. » Ce retard serait dû à une économie mondiale « incroyablement difficile ».
Selon le Wall Street Journal, Facebook se serait retrouvé en difficulté pour trouver des investisseurs voulant l'aider à financer son plan au montant initialement prévu, ce qui suggère que « certains sont de plus en plus nerveux quant aux perspectives » du site.
En 2007, alors que Facebook était le phénomène montant de la Sillicon Valley, Microsoft avait payé la somme de 240 millions de dollars pour acquérir 1,6 % des parts de la start-up. Cet achat valorisait alors Facebook à 15 milliards de dollars. En 2007, pourtant, Facebook n'a généré que 150 millions de dollars de revenus.
Difficile de monétiser le contenu d'un réseau social
Pour rentabiliser son audience (120 millions de membres dans le monde), le réseau social avait lancé en novembre 2007 un programme permettant aux annonceurs de s'appuyer sur les informations de ses membres pour cibler leurs publicités. Mais face à la rébellion de ses membres, qui estimaient que le réseau social faisait intrusion dans leur vie privée, Facebook a abandonné ce programme.
Cette année, Facebook prévoyait de doubler son chiffre d'affaires de 2007. Mais le modèle économique des réseaux sociaux, qui ont des millions de membres mais n'offrent pas de trafic qualifié, est de plus remis en doute - surtout en cette période de crise économique, synonyme de restriction des investissements des annonceurs sur les médias performants.
« Je ne veux plus acheter de bannières sur Facebook, déclarait ainsi Ted McConnell, directeur général marketing interactif et innovation de Procter & Gamble, lors d'une conférence de l'Ad Club en novembre, arguant qu'il est impossible de monétiser un contenu où « quelqu'un rompt avec sa petite amie ».

02 décembre 2008

L'Union européenne crée une mission d'enquête sur le conflit entre la Russie et la Géorgie - Europe - Le Monde.fr

Et sinon, l'UE peut aussi s'occuper de son CUL avant de foutre la merde et de
s'occuper de la politique de pays hors UE... omme si c'était pas aussi le bordel
chez nous!


L'Union européenne crée une mission d'enquête sur le conflit entre la Russie et la Géorgie - Europe - Le Monde.fr# "L'Union européenne a officiellement lancé, mardi 2 décembre, une mission d'enquête sur les causes du conflit russo-géorgien du mois d'août, qui sera dirigée par la Suissesse Heidi Tagliavini, représentante spéciale de l'ONU en Géorgie de 2002 à 2006.

La Géorgie avait lancé dans la nuit du 7 au 8 août une offensive militaire contre l'Ossétie du Sud, à laquelle la Russie avait riposté par l'envoi massif de troupes en territoire géorgien. Elle a ensuite reconnu l'indépendance des régions séparatistes pro-russes d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud au grand dam des Occidentaux, et a interdit jusqu'ici leur accès aux observateurs internationaux."

L'objectif de la mission sera d'"enquêter sur les origines et le déroulement du conflit en Géorgie". "Le champ d'investigation, tant géographique que temporel, sera suffisamment large pour pouvoir déterminer l'ensemble des causes possibles ", précise le document. La mission compte sur le soutien de Moscou, dont la bonne volonté sera nécessaire pour accéder aux régions séparatistes. "Les Russes avaient dit qu'ils étaient favorables à ce type d'enquêtes, on espère que cela va se traduire par un soutien effectif aux travaux de cette mission", a souligné la porte-parole de la présidence française.

Heidi Tagliavini devra choisir une dizaine de collaborateurs pour cette enquête, parmi des "experts reconnus", "juristes, historiens, militaires, et experts des droits de l'homme", selon le texte approuvé sans discussion par les ministres. La mission devrait terminer ses travaux le 31 juillet 2009, mais pourrait être prolongée si besoin. Mme Tagliavini présentera ensuite son rapport "aux parties du conflit, au conseil [des ministres européens], à l'OSCE [l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe] et à l'ONU".

29 novembre 2008

Russie : tir réussi d'un missile balistique depuis un sous-marin

"MOSCOU, 28 novembre (Xinhua) -- La Russie a tiré vendredi avec succès, à titre d'essai, un missile intercontinental balistique ' Bulava' depuis un sous-marin, ont rapporté les media russes.
Le missile Bulava a été lancé par le sous-marin nucléaire Dmitry Donskoi depuis la mer Blanche, a déclaré le porte-parole de la marine russe Igor Dygalo, cité par Interfax.
Le missile a touché le cible situé sur la péninsule Kamchatka, a-t-il précisé.
Le missile Bulava, capable de porter jusqu'à 10 têtes nucléaires et ayant une portée de 8.000 km, est conçu pour être tiré des nouveaux sous-marins de classe Borei."

Retour sur - Les incidents du Tricastin - - Actualités - nouvelobs.com

Retour sur - Les incidents du Tricastin - - Actualités - nouvelobs.com: "Les incidents du Tricastin



«L'état radioécologique des nappes phréatiques sous et autour des sites nucléaires ne pose globalement pas de problème significatif de nature environnementale ou sanitaire», selon le rapport du Haut Comité pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire (HCTISN) rendu le 7 novembre. Il avait été commandé suite aux fuites de l'usine de la Socatri sur le site de Tricastin le 7 juillet (voir S. et A. n° 739, septembre 2008 )."

Népal - Le toit du monde pollué par les suies - Loïc Chauveau - Actualités - nouvelobs.com

Népal - Le toit du monde pollué par les suies - Loïc Chauveau - Actualités - nouvelobs.com: "Le toit du monde pollué par les suies



L'Himalaya se couvre de suies, révèle une équipe du Laboratoire de météorologie physique de Clermont-Ferrand et du Conseil national de la recherche italien, dans un article des PNAS (13 octobre 2008). Situé à 5049 mètres, au pied de l'Everest et du K2, le plus haut centre météo du monde a permis aux chercheurs d'étudier la formation des aérosols provenant des villes indiennes et népalaises pendant 16 mois : portés par les vents chauds, ils sont bloqués à cette altitude par les couches troposphériques d'air propre descendant des sommets. Les suies se déposent principalement le matin, en fonction des conditions météo. Les particules se forment par condensation de gaz précurseurs. En absorbant la chaleur, ces dépôts accéléreraient la fonte des glaciers."

28 novembre 2008

Le camp Royal veut participer à la direction du PS - Politique - Le Monde.fr#ens_id=910156&xtor=RSS-3208#ens_id=910156&xtor=RSS-3208#ens_id=910156&xtor=RSS-3208

Repeat after me: "YOU LOOSED" ! Que gros ****


Le camp Royal veut participer à la direction du PS - Politique - Le Monde.fr#ens_id=910156&xtor=RSS-3208#ens_id=910156&xtor=RSS-3208#ens_id=910156&xtor=RSS-3208: "L'équipe de Ségolène Royal veut 'faire pleinement partie de la direction du Parti socialiste', dont Martine Aubry est la nouvelle première secrétaire, a déclaré, vendredi 28 novembre, Manuel Valls. Le camp Royal est 'totalement disponible pour prendre toute [sa] place au sein du Parti socialiste', a assuré le député-maire d'Evry."

Le Figaro - Flash actu : La LCR veut un moratoire sur le Taser

Le Figaro - Flash actu : La LCR veut un moratoire sur le Taser: "La Ligue communiste révolutionnaire (LCR) a appelé aujourd'hui à 'une campagne unitaire pour un moratoire sur l'utilisation du Taser', après que l'importateur français du Taser a été débouté par le TGI de Paris de son action en diffamation contre Olivier Besancenot.

Après 'cette décision de justice, une campagne unitaire pour un moratoire sur l'utilisation du Taser doit se développer', a affirmé la LCR dans un communiqué.
'Actuellement, plus de 4.500 Taser équipent la police et la gendarmerie. Depuis fin septembre, la police municipale peut en être pourvue', a ajouté la LCR.

SMP Technologies, qui distribue le Taser en France, reprochait à Olivier Besancenot, porte-parole de la LCR, d'avoir affirmé sur son blog, en juin 2007, que ce pistolet aurait 'probablement déjà fait taire plus de 150 personnes aux USA', des chiffres tirés d'un rapport d'Amnesty International"

Veaphone 3: la montre qui fait aussi office de téléphone mobile multimédia

Veaphone 3: la montre qui fait aussi office de téléphone mobile multimédia: "Un gadget 'à la James Bond' pour les fêtes ? Peut-être, toutefois le concept de montre-téléphone mobile a le mérite d’évoluer et le Veaphone 3 propose une solution d'appoint, au poignet relativement complète et innovante.


Commercialisée dans les enseignes The Phone House, la montre Veaphone 3 est un téléphone mobile tribande GSM/GPRS, compatible WAP et MMS : elle dispose donc d'un emplacement pour carte SIM. Elle propose aussi de nombreuses fonctionnalités multimédia, comme un appareil photo 3 millions de pixels avec zoom intégré, lecteur audio/vidéo et même un lecteur de e-book (bien qu'on se demande quelle utilité cela peut avoir sur un si petit écran).
Dotée en effet d'un écran tactile de seulement 1,3 pouces de diagonale (résolution 128 x 160 pixels) et de 1 Go de mémoire, la Veaphone 3 s'utilise avec un mini stylet intégré. Pour téléphoner, elle se connecte à une oreillette Bluetooth, livrée avec celle-ci.
Le constructeur promet 120 minutes d'autonomie en communication, ce qui est assez limité: la montre est d'ailleurs livrée avec deux batteries. La Veaphone 3 propose également des fonctions de réveil, de calculatrice ou de conversion de monnaie.
Reste à savoir, au vu des nombreuses fonctionnalités embarquées, si l'ergonomie est au rendez-vous pour tout gérer à partir d'un si petit écran... La Veaphone 3 coûte 199 euros avec deux batteries, une oreillette Bluetooth, un chargeur et un câble USB. La garantie est d'un an."

27 novembre 2008

La justice iranienne condamne un homme à être aveuglé à l'acide - Proche-Orient - Le Monde.fr#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208

La justice iranienne condamne un homme à être aveuglé à l'acide - Proche-Orient - Le Monde.fr#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208#xtor=RSS-3208: "Un Iranien, qui avait rendu aveugle une femme ayant refusé sa demande en mariage en lui jetant de l'acide au visage, a été condamné par la justice au même châtiment, rapporte, jeudi 27 novembre, le quotidien Etemad-e Melli.
En vertu du principe de 'qisas' – ou juste châtiment – prévu par le droit islamique iranien, le tribunal a jugé que l'homme devait à son tour être rendu aveugle par un jet d'acide.
L'accusé avait été éconduit à plusieurs reprises par une femme et s'était vengé en l'agressant alors qu'elle quittait son travail en 2004. Elle s'était ensuite rendue en Espagne pour subir une opération du visage mais elle n'avait pas retrouvé la vue."

Oeil pour oeil, dent pour dent! dirons d'autres

06 septembre 2008

En Finlande, le réacteur EPR est aussi malmené

A Olkiluoto en Finlande, un réacteur nucléaire EPR de nouvelle génération est en construction comme à Flamanville en France. Même technologie, mêmes critiques et mêmes difficultés pour ces deux chantiers, notamment autour de la sécurité des travaux et du retard qu'ils ont pris. Selon Les Echos, en Finlande, Areva fait face à une augmentation de 50% de sa facture pour le chantier.

En Finlande, le réacteur EPR est aussi malmené
Alors que le démarrage de l'EPR à Flamanville dans la Manche continue d'être prévu en 2012, un réacteur nucléaire de nouvelle génération similaire, le premier au monde à eau sous pression, aurait dû commencer à fonctionner dès 2009 à Olkiluoto en Finlande. Entre la France et la Finlande, une même technologie présentée par ses défenseurs comme plus efficace et plus sûre, des critiques similaires et surtout des difficultés comparables.
Comme en France, les écologistes finlandais sont vent debout contre ce chantier. Greenpeace a demandé en août l'arrêt de la construction du réacteur EPR. Pour appuyer ses dires, l'association a fait valoir des documents confidentiels qui feraient état de problèmes de sécurité "inquiétants". "Alors que l'énergie nucléaire est par nature dangereuse, la culture de sécurité douteuse du constructeur français Areva et de ses sous-traitants menacent d'augmenter considérablement les risques de cette centrale nucléaire", a précisé Greenpeace. En écho à ces protestations, le gouvernement finlandais a demandé à l'Autorité finlandaise de sécurité nucléaire de clarifier ses méthodes d'inspection. Ce qu'il a fait en assurant que tout était conforme aux procédures de sécurité.
Sécurité, coût de la construction, allongement de la durée des travaux : en Finlande, c'est en cascade que les difficultés s'accumulent pour l'EPR. Selon Les Echos, le groupe nucléaire français Areva, qui co-construit le réacteur nucléaire, fait face à une augmentation de 50% de sa facture, à 4,5 milliards d'euros contre 3 milliards prévu initialement. Explications selon le quotidien économique : le "renchérissement des matériaux et des équipements" et "un gonflement de la masse salariale car, sur place, de nouvelles équipes ont été dépêchées par Areva pour assurer une meilleure conduite des travaux".
"Dans le nucléaire, on ne peut pas faire de maquette dans un hangar. De ce fait, ce projet supporte des coûts de développement et mobilise des ressources supérieurs aux réacteurs suivants", a expliqué un porte-parole du groupe nucléaire. En Finlande, la mise en service de l'EPR est désormais prévue pour 2011, au lieu de 2009. En France, EDF a assuré que l'objectif de démarrage était "maintenu" "en 2012". Le Canard enchaîné faisait état de son côté d'"au moins neuf mois de retard" après la suspension des travaux cet été quand la sécurité des opérations de coulage de béton était mise en cause.

25 août 2008

Y'a comme un bug


44018 jours et 13 heures pour un fichier de 3.99Go dont il reste 2.99Go qui pourtant, sont transférés à 2.41Mo/s...
Vista ne serait pas fort en maths???

22 août 2008

Tous les essais OGM de Monsanto détruits en France

Pour moi c'est une bonne nouvelle... Et si on se mettait au naturel?


Selon Monsanto, pour la première année, "100% des essais" OGM lancés en France en 2008 par le semencier américain ont été détruits. Cette annonce intervient à la suite d'une nouvelle action des faucheurs volontaires vendredi dernier sur deux parcelles dans la Vienne. Selon eux, le maïs détruit était de type MON810, une espèce dont la culture et la commercialisation est officiellement interdite en France depuis février 2008. La préfecture a elle parlé "d'expérimentation sous le contrôle du ministère de l'Agriculture".
Tous les essais OGM de Monsanto détruits en France
Un pays qui laisse une poignée d'obscurantistes saccager sa recherche se prive de toutes les promesses de progrès que celle-ci porte pour le présent et pour l'avenir, et ce au détriment des citoyens et des consommateurs de ce pays" : Monsanto n'a pas caché sa colère après la destruction de deux parcelles de maïs OGM vendredi dernier. Selon le semencier américain, pour 2008, ce sont "100% (de ses) essais" transgéniques lancés en France qui ont été détruits.
Menés par José Bové, une centaine de faucheurs volontaires ont détruit vendredi à Valdivienne et à Civaux deux parcelles de maïs OGM MON810. Selon eux, le maïs détruit était de type MON810, une espèce dont la culture et la commercialisation est officiellement interdite en France depuis février 2008. La préfecture de la Vienne a confirmé de son côté qu'il s'agissait de MON810, mais a souligné que les deux parcelles étaient cultivées "à des fins d'expérimentation sous le contrôle du ministère de l'Agriculture".
Une autorisation ministérielle mise en avant par Monsanto selon qui ses expérimentations OGM font "l'objet d'un suivi continu de la part des services administratifs de la Protection des Végétaux comme des techniciens de Monsanto".

Source: Europe1.fr, Crédit photo: Gamma Greenblatt Bill

12 août 2008

Si ça peut s'arrêter là...

La Russie vient de faire un premier pas pour l'arrêt des combats, espérons que les Géorgiens en profiterons... Sinon, c'est qu'ils faut "les matter" une bonne fois, et mettre Saakachvili dehors.

10h50 Moscou Le président russe Dmitri Medvedev annonce à l'antenne de la télévision nationale avoir "pris la décision" d'arrêter l'opération russe "visant à contraindre la Géorgie à la paix".

11h10 Moscou Le commandement russe annonce que les forces russes ont reçu l'ordre d'arrêter leur progression en Ossétie du Sud.

11 août 2008

Le pen vend à des chinois! MEGA L O L! A mourir de rire

Le Pen vend le siège du Front national à des Chinois

Reuters

Jean-Marie Le Pen annonce avoir signé une promesse de vente du Paquebot, le siège de son parti à Saint-Cloud, près de Paris, à une université de Shanghai.

"Nous avons signé une promesse de vente notariée avec une université de Shanghai", déclare le président du Front national confirme à L'Express.fr.

Selon Jean-Marie Le Pen, cette université chinoise voudrait transformer le bâtiment de 5.000 mètres carrés en école de perfectionnement de la langue française.

Le trésorier du parti avait évalué au début de l'année le bâtiment entre 15 et 20 millions d'euros mais le dirigeant du FN a préféré rester discret sur le montant de la transaction.

Vendredi, le président du FN avait seulement indiqué que la vente, susceptible de permettre à son parti de surmonter une grave crise financière, était "bien engagée."

La vente du siège du FN, si elle se conclut, viendra à point nommé pour sortir le parti d'extrême droite des difficultés financières qui s'accumulent depuis son mauvais score des législatives de 2007.

Plus des deux tiers des candidats du FN n'ont pas franchi en effet la barre de 5% des voix pour obtenir le remboursement de leur campagne par l'Etat, creusant ainsi les comptes du parti d'environ huit millions d'euros.

Fin juillet, Fernand Le Rachinel, un eurodéputé frontiste en conflit avec Jean-Marie Le Pen au sujet d'impayés, a fait saisir à titre conservatoire un compte bancaire du FN. Si ce dernier ne règle pas une dette de 892.759,69 euros, son avocat, Robert Apéry, menace d'assigner le parti en redressement judiciaire.

En outre, Fernand Le Rachinel, qui est imprimeur, a réclamé devant le tribunal de grande instance de Nanterre (Hauts-de-Seine) le paiement d'une dette d'environ sept millions d'euros correspondant à un prêt effectué lors de la dernière campagne législative. Le jugement a été mis en délibéré au 3 octobre.

Les russes se défendent... C'est la Géorgie qui a agressé!

La Géorgie a posé un genou par terre. Avec l'aide de l'aviation et de la marine, les forces russes ont pris, dimanche 10 août, le contrôle de la capitale sud-ossète, Tskhinvali, tandis les forces géorgiennes auraient évacué leurs troupes d'Ossétie du Sud. Malgré le cessez-le-feu unilatéral décrété côté géorgien, des bombardements russes étaient toujours en cours lundi matin, jusque dans les faubourgs de la capitale, Tbilissi, alors que la partie russe accuse la Géorgie de poursuivre ses tirs contre Tskhinvali en dépit de ses engagements.

La Russie a déployé une force de frappe impressionnante. Selon les autorités géorgiennes, environ 4 000 soldats auraient pris pied sur le port abkhaze d'Otchamtchyra dimanche. Au même moment, 6 000 hommes de la 58e armée russe, additionnée de "volontaires", prenaient le chemin de l'Ossétie du Sud par le tunnel de Roki, seul point d'accès à la république rebelle à partir de la Russie.

Les forces russes ont rapidement pris le contrôle de Tskhinvali, alors que les troupes géorgiennes se retiraient en direction du sud. Un second front s'est ouvert en Abkhazie, autre république rebelle soutenue par Moscou, alors que des bombardements russes étaient annoncés dans les gorges de Kodori, seule région abkhaze toujours contrôlée par Tbilissi. Le gouvernement séparatiste abkhaze a annoncé qu'une partie de son territoire était "en état de guerre" contre la Géorgie à compter de la nuit de dimanche à lundi. Moscou compte déployer 9 000 soldats supplémentaires en Abkhazie à compter de lundi.

En Ossétie du Sud, la question des réfugiés est préoccupante. Selon la Croix-Rouge, 40 000 personnes seraient déplacées, dont plus de 30 000 dans la seule Ossétie du Sud qui comptait, avant le conflit, 70 000 habitants. Les autorités ossètes évoquent le nombre de 1 600 morts, tandis que l'ambassade russe à Tbilissi parle "d'au moins 2 000 morts civils". Sur les ondes de la radio Echos de Moscou, Arkhan Djemal, un journaliste présent à Tskhinvali, affirme que "presque tous les hommes de 15 ans et plus participaient aux combats. Puisqu'ils étaient faiblement armés, beaucoup d'entre eux ont été tués par les forces géorgiennes".

"Toute l'Ossétie du Sud se trouve sous contrôle russe", affirme au Monde par téléphone Dmitri Sanakoiev, chef de l'administration provisoire progéorgienne dans l'enclave. Il ajoute : "Tskhinvali est totalement détruite. On parle de 1 500 morts. Près de 15 000 Géorgiens ont dû quitter leurs villages. Plus de 20 000 habitants ont quitté Tskhinvali, où il ne reste plus que les militaires russes et les bandes criminelles de Kokoïty ("président" prorusse de l'Ossétie)."

Les réfugiés ossètes se sont essentiellement retrouvés en Ossétie du Nord, côté russe. "L'évacuation des blessés est très difficile. Les infrastructures manquent, les autorités locales annoncent l'ouverture d'un second camp. Et le flux de réfugiés devrait augmenter dans les heures à venir", nous a confié par téléphone, Alan Tskourbaïev, journaliste à Vladikavkaz, la capitale régionale d'Ossétie du Nord. Pour sa part, le premier ministre russe Vladimir Poutine, de passage en Ossétie du Nord, a annoncé l'attribution par la Russie de 10 milliards de roubles (275 millions d'euros) pour la reconstruction des habitations à Tskhinvali et dans l'ensemble de l'Ossétie du Sud.

Les dirigeants russes ont eu des mots très forts pour qualifier l'intervention géorgienne. Reprenant l'expression de M. Poutine prononcée dimanche, le président Dmitri Medvedev a dénoncé un "génocide" perpétré en Ossétie du Sud.

"De la propagande", pour Giga Bokeria, vice-ministre géorgien des affaires étrangères. Dans un entretien téléphonique, M. Bokeria souligne que "l'enjeu n'est pas l'Ossétie ou l'Abkhazie, mais bien l'existence d'un Etat indépendant au sud de la frontière de la Russie. Pour celle-ci, détruire (le président) Saakachvili veut dire détruire la souveraineté géorgienne parce qu'il a été élu démocratiquement". M. Bokeria rappelle aussi " la fin de non-recevoir" opposée par les dirigeants ossètes aux engagements pris par Tbilissi de très large autonomie et d'amnistie pour les combattants.

Les bombardements russes se poursuivent depuis dimanche sur le territoire géorgien. Lundi à l'aube, des frappes aériennes russes ont touché une cible militaire à moins de 5 kilomètres de Tbilissi. " Les Russes ont bombardé des zones qui n'ont rien à voir avec les zones de combat, notamment près de l'aéroport de Tbilissi, dans le port pétrolier de Poti, ainsi qu'autour de Zougdidi", affirme M. Bokeria. " Toute la Géorgie est bombardée. L'armée russe a perdu treize avions, mais elle a mobilisé de gros moyens."

Des bâtiments russes mouillent l'ancre à la limite des eaux territoriales géorgiennes "pour venir en aide à la population russe" des régions séparatistes, selon Moscou. Affirmation contestée par Tbilissi, qui estime être sous le coup d'un embargo maritime. Dans la capitale géorgienne, certaines ambassades ont commencé à évacuer leurs ressortissants.

05 août 2008

génial comme négo!

Ou tu fais s'qu'on t'dit, ou on t'casse la gueule...

Voila les négociation à l'occidentale... Et après on s'étonne de se prendre des trucs dans la tronche...

Nucléaire : un message de l'Iran à Javier Solana ?

NOUVELOBS.COM | 05.08.2008 | 12:36

L'entourage du chef de la diplomatie européenne affirmait n'avoir toujours pas reçu de réponse de Téhéran mardi matin, alors qu'un membre du Conseil suprême iranien de la sécurité nationale assure qu'un message a été remis mais que ce "n'est pas la réponse de l'Iran aux six nations".

Javier Solana, porte-parole de la diplomatie européenne (Reuters)

Javier Solana, porte-parole de la diplomatie européenne (Reuters)

(c) Reuters
Selon une source au sein du Conseil suprême iranien de la sécurité nationale, l'Iran a remis, mardi 5 août, un message qui n'est pas une réponse à l'offre des six grandes puissances pour régler la crise sur le nucléaire au chef de la diplomatie de l'UE Javier Solana.
"Le message remis aujourd'hui n'est pas la réponse de l'Iran aux six nations", a déclaré cette source à l'AFP, sous couvert de l'anonymat, et sans apporter de précision sur le contenu de ce message.
L'entourage de Javier Solana avait indiqué lundi que le négociateur iranien sur le nucléaire, Saïd Jalili, fournirait mardi par écrit une réponse à l'offre des grandes puissances.
A Bruxelles l'entourage de Javier Solana a cependant assuré mardi en fin de matinée que "pour le moment, rien ne nous est parvenu".
"La dernière fois qu'un document nous a été remis, six heures ont passé entre le moment de l'annonce de son arrivée et sa remise, le temps de le traduire et de l'acheminer", a expliqué l'entourage de Javier Solana.

Les Six dans l'expectative

Les six grandes puissances impliquées dans les discussions sur le programme nucléaire iranien ont menacé lundi Téhéran de nouvelles sanctions après l'entretien téléphonique de Saïd Jalili et du chef de la diplomatie de l'Union européenne, jugé "peu concluant".
"La France comprend qu'un document écrit doit parvenir demain 5 août à Javier Solana, et espère que ce document apportera la réponse que la communauté internationale attend", avait indiqué lundi soir le ministère français des Affaires étrangères.
"En l'absence de réponse positive à l'offre des Six (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne, Allemagne), l'Iran devra alors faire face à de nouvelles sanctions", a averti le ministère français.
Les directeurs politiques des Six, réunis lundi matin en conférence téléphonique, ont convenu de "prendre d'autres mesures contre l'Iran" si Téhéran n'apportait pas une réponse positive "claire" à leur offre de coopération, selon le porte-parole du département d'Etat américain, Gonzalo Gallegos.

"La nation iranienne ne cédera rien"

Lors d'une rencontre avec Saïd Jalili, le 19 juillet à Genève, les cinq membres permanents du Conseil de sécurité et l'Allemagne avaient donné environ deux semaines à l'Iran pour répondre à leur offre et les Etats-Unis avaient averti Téhéran vendredi que les Iraniens iraient au-devant de "conséquences négatives" s'ils ne répondaient pas ce week-end.
Les grandes puissances ont offert une alternative à l'Iran: soit elle accepte la coopération et suspend ses activités controversées d'enrichissement de l'uranium, que les Occidentaux soupçonnent d'être destinées à acquérir l'arme nucléaire, soit elle fait face à des sanctions croissantes de la communauté internationale.
Le porte-parole de la diplomatie iranienne, Hassan Ghasghavi, a assuré que Téhéran avait "décidé de poursuivre la négociation avec une approche positive qui crée une atmosphère constructive".
Ses déclarations sont en contradiction avec la fin de non-recevoir opposée samedi par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad qui a affirmé que "la nation iranienne ne cèdera pas un pouce sur ses droits au nucléaire".

25 juillet 2008

Un des fils du colonel Kadhafi provoque une crise avec la Suisse - Afrique - Le Monde.fr

Manifestations "spontanées" devant l'ambassade de Suisse à Tripoli, sanctions économiques en rafale, les autorités libyennes ne digèrent manifestement pas la brève arrestation de l'un des fils du colonel Mouammar Kadhafi à Genève, du 15 au 17 juillet.

La Libye a en effet annoncé, jeudi 24 juillet, l'arrêt des livraisons de produits pétroliers en direction de la Suisse, dont elle est le principal fournisseur, ainsi que le refus de décharger tous les navires suisses et l'interdiction d'entrée de ces navires dans les ports libyens.

Les bureaux des groupes helvétiques Nestlé et helvético-suédois ABB ont été également fermés et leurs responsables ont été interrogés par la police. Le département fédéral des affaires étrangères suisse s'inquiète également de l'arrestation, le 20 juillet, de deux de leurs ressortissants accusés, jeudi, par la justice libyenne d'infractions aux lois en vigueur sur l'immigration et le séjour.

Hannibal (Motassim de son vrai nom) Kadhafi et son épouse avaient été arrêtés, à Genève, à la suite de la plainte déposée pour mauvais traitements par deux de leurs employés, un Tunisien et une Marocaine, au cours d'un séjour dans l'un des palaces de la ville. Ils avaient été libérés après le versement d'une caution de plus de 312 500 euros. Tripoli exige le classement de cette affaire et des excuses de la part des autorités helvètes.

Au début du mois, un frère de l'émir d'Abu Dhabi, le cheikh Falah ben Zayed ben Sultan Al-Nahyane, avait été condamné avec sursis par la justice suisse à une amende de 337 500 euros pour avoir agressé, en 2003, le client d'un hôtel dans lequel il résidait.

Selon l'Agence France-Presse, Hannibal Kadhafi, âgé de 32 ans, est officiellement "conseiller" de la Compagnie libyenne de transport maritime qui détient un quasi-monopole du transport du brut en Libye. Il avait déjà eu, à deux reprises, des démêlés judiciaires en France.

DÉTENTION D'ARME

Le jeune homme avait tout d'abord été interpellé, en 2004, sur les Champs-Elysées, après avoir emprunté l'avenue à contre-sens, à une vitesse estimée à 140 km/heure. Une échauffourée entre les policiers français et ses gardes du corps s'en était ensuivie. Bénéficiant d'un passeport diplomatique, Hannibal Kadhafi avait été immédiatement relâché.

Un an plus tard, toujours à Paris, il avait été poursuivi pour "violence volontaire sur personne vulnérable, en l'occurrence sa concubine enceinte, ayant entraîné une incapacité totale de travail de moins de huit jours", suite à une enquête ouverte après des incidents survenus dans deux grands hôtels parisiens.

La justice lui reprochait également la "détention sans autorisation d'une arme de première catégorie", soit une arme de guerre. Elle l'avait alors condamné à une peine de quatre mois de prison avec sursis. Au début de cette année, la France aurait refusé une demande de visa à l'impulsif fils du "Guide" libyen.

Gilles Paris

Des spywares dans l'iPhone ?

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l'AppStore sur iTunesl'AppStore sur iTunesL’AppStore d’Apple aurait-il quelques soucis de sécurité ?

C’est en tout cas ce que laisse penser le retrait du jeu Aurora Feint, qui aurait permis à certains utilisateurs de retrouver sur les serveurs la totalité du contenu du carnet d’adresses des victimes.

Une applications peu sécurisée

Comment un jeu sur l’AppStore a pu se retrouver infecté d’un spywareLogiciel qui transmet à l’insu de son utilisateur des informations sur l’ordinateur via Internet. Un utilisateur peut récupérer un spyware de deux gra... et infecter plusieurs utilisateurs ? Apple, qui a constaté le méfait, a retiré le jeu Aurora Feint, infecté par un spyware qui se chargeait de transférer le carnet d’adresses de l’utilisateur vers les serveurs de l’éditeur. À vrai dire, il ne s’agissait pas réellement d’une infection, mais d’un ajout des développeurs sans réelle intention de nuire. Ceux-ci ont avoué avoir inclus une fonction qui permet de prévenir ses contacts lorsque l’on est en train de jouer. Or, les informations étaient transmises en clair sur le réseauLAN est l’acronyme du terme anglais Local Area Network, que l’on peut traduire en fraçais par Réseau Local. Sa définition consiste en un ensemble d’or..., autorisant l’accès à n’importe quelle personne un tant soit peu indiscrète et bricoleuse.

Apple avait pourtant prévenu que tous les programmes de l’AppStore seraient soumis à un contrôle des plus stricts. Il semblerait que celui-ci ait pu passer au travers, ce qui ne rassure pas vraiment pour de futures applications qui auraient réellement le but de nuire sournoisement. Depuis, le jeu a été réintégré le service, après correction de ses fonctions gênantes.


Et quand on pense qu'Apple fait payer 100$ la signature logicielle, y compris des softs gratuit, c'est plus qu'abusé! En réalité ils signent n'importe quoi alors? Dans ce cas, pourquoi empêcher l'installation de tout programme non signé? C'est vraiment une plateforme TROP verrouillée...

24 juillet 2008

INNOV8: la réponse de Samsung aux smartphones Nokia Série N - businessMOBILE.fr


Après avoir dévoilé sa réponse à l'iPhone 3G avec le Player Addict, Samsung s'attaque aussi au N°1 mondial Nokia et sa gamme N avec l'INNOV8, modèle slider sous Symbian, compatible 3G+, WiFi, GPS et doté d'un capteur photo 8 millions de pixels.

Samsung ne réserve pas que ses modèles haut de gamme à la plateforme Windows Mobile: l'univers Symbian est bien pourvu également avec le prochain INNOV8 (prononcez "innovate"), au format coulissant, destiné à concurrencer les modèles multimédia N95 et N96 de Nokia.

Compatible 3G+, ce modèle mesurant 106.5 x 53.9 x 17.2 mm dispose d'un écran QVGA de 2,8 pouces, d'un accéléromètre, de la connectivité WiFi, d'un GPS, d'une sortie TV et de 8 ou 16 Go de mémoire interne extensible par carte microSD. Des caractéristiques techniques somme toute similaires à celle du Player Addict, smartphone tactile censé concurrencer l'iPhone 3G.

Mais pour aller chatouiller les Série N, l'INNOV8 relance la course aux pixels des capteurs photo: 8 millions de pixels, autofocus, double flash LED. L'Innov8 enregistre également des séquences vidéo QVGA en 120 images par secondes et VGA en 30 images par secondes. Côté lecture vidéo, la certification DivX est de mise, tandis qu'une puce graphique évoluée permet de s'adonner aux derniers jeux 3D.

La batterie 1200 mAh incluse assurerait 5 heures d'autonomie en communication 3G, selon Samsung.

Le Samsung INNOV8 sera commercialisé en Europe à partir du mois d'août, pour un prix encore non communiqué.


Ouverture de Knol, l'encyclopédie en ligne de Google

Formidable réussite avec une audience globale de plus de 100 millions de visiteurs uniques chaque mois, le modèle Wikipedia semble avoir inspiré Google qui vient d'ouvrir les portes de Knol, son encyclopédie collaborative en ligne. A la différence de Wikipedia, le numéro un mondial de la recherche en ligne entend toutefois mettre en avant les auteurs, qui auront la possibilité de signer leurs articles et de les verrouiller contre toute modification.

Conscient qu'il sera difficile de fédérer une masse de connaissances digne d'une véritable encyclopédie, Google propose enfin aux internautes d'être rémunérés pour leurs articles : ils auront la possibilité de s'inscrire au programme publicitaire AdSense et de se voir verser les revenus générés par les annonces placées au sein de leurs « knols ». A la différence de la fondation Wikimedia, Google n'a en effet aucune intention de laisser les pages de Knol vierges de toute réclame.

« Chaque knol mentionnera le nom de son auteur (ou groupe d'auteurs). Ce sera leur knol, leur voix, leur opinion. Nous espérons qu'il y aura plusieurs knols sur un même sujet », explique Google, qui adopte donc la position inverse de celle de Wikipedia, où l'anonymat fait force de loi.

Les articles publiés par les contributeurs de Knol pourront être amendés par les internautes, mais la publication des modifications suggérées restera soumise à la décision du créateur de la page concernée. De son côté, Google précise qu'il n'exercera aucun contrôle éditorial, laissant la surveillance du contenu aux utilisateurs. Knol et son accent délibérément commercial sauront-ils fédérer une communauté ?

nouvelle carte militaire

Mais quel foutage de gueule! C'est abusé! Et quoi? On a déjà une des armée les plus pourrav', faut encore qu'on réduise nos effectifs??? Mais c'est quoi ce délire???

Je repense aux guignols sur canal, qui à l'époque de la guerre en Afganistan, les rares missions que nous étions capable d'assumer fut de... Nettoyer... Avec Bush qui file un balai à Chirac...

La reprise...

J' ai repris le taf' lundi, et malheureusement, j' ai de nouveau des douleurs dans les lombaires...

Mais bon, ça fait trop du bien de refaire quelque chose de ses journée, alors je vais tranquillement prendre mon "mal en patience"... Retourner peut être chez le doc' pour juste avoir un antalgique? Je supporte pas de rester assis...

Les boules...

15 juillet 2008

Demain: Ostéo! Je compte sur lui!

Allez, je vais tenter une nouvelle cartouche pour en finir avec ce foutu dos... J'en peux plus de rester chez moi à rien foutre, à ramer devant les mêmes reportages ou les mêmes émissions débiles!

Les collègues rament au taf, et moi, non seulement je suis bloqué à rien foutre et dans la douleur, mais en plus je sens qu'ils apprécieraient que je dois là pour les aider... Ou plutôt, faire mon taf'! Ils récupèrent en surcharge mes dossiers... A ceux qui me lisent, un gros merci...
Je fais le max pour revenir le plus tot possible...

Demain (mercredi 16/07), RdV avec le meilleur Ostéo du coin, manipulations prévues  pour essayer de remettre un peu ça dans l'ordre... Mon doc' me certifie que ça devrait me soulager au moins pour plusieurs mois... Si ça peut être vrai! ;)

J'en profite pour signaler en tout cas que mon médecin traitant, et son remplaçant sont formidables: A l'écoute, cherchent vraiment avec moi des solutions sur différents traitements pour que j'ai le moins de douleurs possibles.

Un gros merci à eux...

08 juillet 2008

Coincé

Y a pas à dire, se sentir bloqué, avoir des difficultés à rester assis, debout, ou même allongé, avoir sans cesse... Pas des douleurs, mais comme des courbatures permanentes dans le bas du dos, ça n'a absolument rien d'agréable.

Ostéo

Et mercredi en fin de journée, direction un ostéopathe... Perso, je craint un peu, dans la situation actuelle... Quoique, si ça peut arranger, mais j'avoue avoir des doutes, j'ai déjà essayé tant de choses, sans succès...

19 juin 2008

Et un tas de cons ici sur Terre

Heu, ça, c'est la suite de l'article ci-dessous remit à ma sauce:

J'ai découvert en 2001 le jeune Bush jr je le croyais être le pire président d'une démocratie de ce monde... Mais j'ai fait erreur, alors que nous, français, ne comprenions pas la ré-élection de Bush jr, nous votons Sarkozy en 2007... Pouvons nous encore critiquer?

 

Puis arriva son gouvernement: On casse les retraite, on tue les pauvres, diminue le pouvoir d'achat, favorise les riches, enlève la liberté d'Internet, je ne parle pas de la sécu, des profs, des étudiants... La France est en colère...

 

A son époque, notre bon "Chichi" fut fortement critiqué, et qu'est-ce qu'on a pu se foutre de sa poire... Mais j'aurais jamais cru qu'un jour on mettrai à la tête de la France, un con... Aussi con!

Un tas de Terres découvert dans l'Univers

Son petit nom? HD 40307. Un nouveau «système solaire», avec trois «super-Terres», a été découvert à quarante-deux années-lumière de notre planète, a annoncé hier Michel Mayor. L'astrophysicien suisse,

Cliché de la galaxie M100 analysé par Astrometry.net

qui avait rapporté l'existence de la première planète extrasolaire, ou exoplanète, en 1995, en a fait l'annonce lors du congrès mondial Super Earths, qui se tient à Nantes jusqu'à mercredi.

«A l'échelle de la galaxie, ce système est très près de nous, explique le scientifique. On peut dire que c'est un proche voisin.» Les trois exoplanètes, seulement trois à neuf fois plus lourdes que

 

la Terre, ont surtout la particularité d'avoir une taille comparable à celle de la planète bleue. «Il ne s'agit plus de planètes géantes» comme Jupiter ou Saturne, souligne le Pr Olivier Grasset, directeur adjoint du laboratoire de planétologie et de géodynamique de l'université de Nantes. «Un palier a été franchi. Technologiquement, c'est énorme.» Pour autant, les trois planètes ne sont pas habitables, car trop proches de leur étoile-centre. A la surface de la première, il ferait ainsi... 1.500°C.

Outre HD 40307, deux autres systèmes solaires, avec quatre autres «super-Terres», ont été découverts par les chercheurs. Ce qui laisse à penser que les exoplanètes ne sont peut-être finalement pas si rares que ça dans l'Univers. Reste qu'il est toujours difficile de les détecter: seule la lumière qu'elles reflètent permet de les distinguer. «Une étoile, c'est un réacteur nucléaire et une planète, un caillou qui réfléchit sa lumière, compare Mayor. Ainsi, la Terre ne réfléchit qu'un milliardième de la lumière du Soleil...»

Quand ils perdent, ils gagnent quand même!

Les ricains, des protectionnistes? Belle bande de batards dès qu'on se montre meilleur qu'eux! Reste à espérer que l'armée de l'air ne remettra pas en cause le contrat, et qu'Aibrus, après tant d'effort, vaincra!

La Cour des comptes américaine (Government Accountability Office - GAO) a donné raison, mercredi 18 juin, à Boeing, qui contestait les conditions d'attribution par le Pentagone d'un méga-contrat d'avions ravitailleurs à l'européen EADS et son partenaire américain Northrop, laissant présager une remise en jeu du dossier. "Notre étude nous a conduit à conclure que l'Air Force a commis nombre d'erreurs significatives qui pourraient avoir affecté le résultat d'une compétition qui était serrée entre Boeing et Northrop Grumman", a estimé la Cour, à l'issue d'un examen de trois mois de la procédure.

Le 29 février, l'armée de l'air américaine avait choisi EADS et Northrop pour fournir 179 avions ravitailleurs. Cette décision avait suscité une levée de boucliers protectionnistes au sein du Congrès. La compétition opposait le KC-45, version militarisée de l'A330 d'Airbus, et le KC-767, dérivé du 767 de Boeing.

Le GAO note sept points qui ont pu, à son sens, fausser la compétition. La Cour a noté, en particulier, que Boeing était moins cher que son rival sur toute la durée de vie du programme, après correction de certaines erreurs mises au jour lors de l'examen. La Cour, dont l'avis est pratiquement toujours suivi par les pouvoirs publics, recommande à l'Air Force de "rouvrir les discussions" avec les deux compétiteurs, "d'obtenir des propositions révisées, de réévaluer les propositions et de prendre une nouvelle décision sur la sélection de son fournisseur, cohérente avec [sa] décision".

Cette recommandation, qui constitue un revers cinglant pour l'armée de l'Air et pour EADS, maison-mère d'Airbus, est le dernier épisode d'une histoire aux multiples rebondissements. Ce contrat de 35 milliards de dollars (22,5 milliards d'euros environ) avait déjà été attribué à Boeing avant d'être annulé pour fraude et avait valu la prison à deux cadres de l'avionneur. L'annonce du GAO risque de retarder encore une fois le renouvellement d'une flotte vétuste de "stations-service volantes", d'au moins un an selon les experts.

LOUIS GALLOIS DÉÇU MAIS ENCORE CONFIANT

L'armée de l'air américaine a annoncé son intention d'étudier les conclusions du GAO avant de décider ou non de relancer la compétition. Elle a 60 jours pour informer la Cour des actions qu'elle compte entreprendre. "L'Air Force fera le plus vite possible afin que l'Amérique s'équipe de cette capacité urgemment requise", a commenté la responsable des acquisitions de l'armée de l'Air, Sue Payton.

Le président exécutif d'EADS, Louis Gallois, a avoué sa "déception", tout en réaffirmant que l'appareil proposé avec Northrop était de son point de vue "le meilleur". La décision du GAO repose sur une "évaluation du processus de sélection" et pas sur les mérites de l'offre, a-t-il souligné. "Nous sommes très confiants dans la qualité de notre offre", a-t-il déclaré à Reuters, quelques minutes après l'annonce de la décision du GAO.

"Nous accueillons et soutenons la décision du GAO aujourd'hui qui reconnaît le bien-fondé de notre plainte" et "sommes impatients de travailler avec l'armée de l'air", s'est félicité Mark McGraw, vice-président de Boeing, chargé des programmes d'avions ravitailleurs.

Northrop s'est contenté d'affirmer "respecter l'analyse du GAO".

18 juin 2008

Vous avez dit secrets???

Ce qui me choque c'est l'intervention Israelienne, alors que l'AIEA est là pour veiller au grain. A force de tirer sur n'importe quoi, ils vont se retrouver avec une bombe dans le cul comme les américains avec leur interventionnisme mal placé du gouvernement Bush jr... C'est alimenter le terrorisme, et non le combattre pareils agissements...

Que se tramait-il à Al-Kibar? Détruit le 6 septembre 2007 par un raid de l'aviation israélienne, ce site au milieu du désert, dans l'est de la Syrie, doit être pour la première fois visité, du 22 au 24 juin, par des inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Ayant la forme d'un bâtiment cubique de 21mètres de haut, il abritait, selon une présentation faite le 24 avril par les agences de renseignement américaines, un réacteur nucléaire clandestin construit selon le modèle du réacteur nord-coréen de Yongbyon.

D'après nos informations, l'AIEA détient des données, provenant de plusieurs sources non américaines, qui appuient cette analyse.
Certaines de ces informations sont des photographies satellite fournies par différents pays. D'autres sont tirées des investigations que l'AIEA a effectuées par le passé sur les activités nucléaires de la Corée du Nord. D'autres encore viennent des recherches menées par l'AIEA sur les réseaux clandestins d'acquisition d'équipements nucléaires dans le monde.

Après la Libye et l'Iran, la Syrie, dont le président Bachar Al-Assad est invité à Paris en juillet, est le troisième cas de prolifération au Proche et au Moyen-Orient.

Le dossier Al-Kibar – qui s'annonce comme l'une des grandes énigmes nucléaires de ces dernières années – survient à un moment particulièrement délicat dans les enjeux diplomatiques au Proche-Orient. La Syrie est engagée dans des pourparlers indirects avec Israël. Son président, Bachar Al-Assad, a récemment envoyé des signaux aux Occidentaux suggérant qu'il cherche à rompre son isolement international.

Le cas syrien a une particularité : alors que la Libye et l'Iran s'étaient adressés, pour leurs fournitures secrètes en technologie nucléaire, au réseau clandestin du Pakistanais Abdul Qadeer (A.Q.) Khan (le "père" de la bombe atomique pakistanaise), c'est à la Corée du Nord que la Syrie a fait appel pour se doter clandestinement de ses équipements. L'enquête de l'AIEA sur la Syrie pose ainsi la question de l'existence d'un "marché noir" nord-coréen du nucléaire. Le périmètre exact de la coopération nord-coréenne avec la Syrie et la possibilité que d'autres pays aient pu bénéficier de ce genre d'assistance fournie par Pyongyang sont au centre des inquiétudes.

Deux questions centrales vont occuper les inspecteurs de l'AIEA : d'où le combustible pour le réacteur d'Al-Kibar était-il censé venir? Et y a-t-il en Syrie une installation secrète de retraitement du combustible usé? Le retraitement est une technologie qui permet de produire du plutonium utilisable dans la fabrication d'une arme nucléaire. C'est par cette méthode que les Nord-Coréens se sont dotés de l'arme atomique qu'ils ont testée en 2006.

L'enquête sera d'autant plus compliquée que les puissantes bombes israéliennes qui se sont abattues sur le site d'Al-Kibar ont laissé une montagne de débris que les Syriens ont, par la suite, partiellement évacués. Un nouveau bâtiment a été construit à cet endroit, rendant difficile tout travail d'excavation. L'AIEA pourrait, dans un premier temps, prélever des échantillons dans le sol, à la recherche de traces de graphite semblable à celui utilisé dans le réacteur de Yongbyon.

Les liens entre la Syrie et la Corée du Nord sont intenses depuis des années. Le régime nord-coréen a joué un rôle central dans l'acquisition par la Syrie de missiles balistiques. Or les méandres du trafic du nucléaire suivent souvent ceux de la prolifération en matière balistique, observent des experts.

Une photographie diffusée par la CIA en avril montre le chef de l'Agence syrienne de l'énergie atomique, Ibrahim Othman, aux côtés d'un des responsables du programme nucléaire nord-coréen, Chon Chibu. Le cliché aurait été pris en Syrie. Selon nos informations, Chon Chibu – avec lequel l'AIEA a été en contact dans les années 1990 – a subitement disparu de Corée du Nord à cette époque. L'une des hypothèses retenues aujourd'hui est qu'il a pu travailler en Syrie, aux côtés d'autres ingénieurs nucléaires et techniciens nord-coréens.

La construction d'Al-Kibar, sur les rives de l'Euphrate, a commencé vers 2001. Elle semble avoir été décidée par Hafez Al-Assad, le père et prédécesseur de l'actuel président syrien. Pour tenter de se doter d'une filière nucléaire, la Syrie s'était adressée, dans les années 1990, à des groupes en Russie, et aussi en Chine. Ces tentatives n'ont pas abouti. De l'aveu même de Damas, le Pakistanais A. Q.Khan s'est rendu en Syrie à la même époque, mais l'offre qu'il formula fut rejetée.

C'est par la suite seulement que la Syrie s'est tournée vers la Corée du Nord. Les motivations de cette dernière auraient été de deux ordres : d'une part l'attrait du gain financier lié à la vente d'un réacteur nucléaire; d'autre part, la perspective d'accroître sa marge de manœuvre au moment où l'accord de 1994 passé avec les Etats-Unis – dans lequel Pyongyang renonçait à son programme nucléaire militaire en échange d'aides – semblait vaciller.

Alors qu'Israël a observé un grand silence sur les circonstances et les raisons de la frappe aérienne de septembre 2007, la Syrie a varié dans ses déclarations au fil du temps. Elle a d'abord affirmé que des avions israéliens avaient lâché, au-dessus du désert, des munitions qui avaient explosé. Puis reconnu qu'Al-Kibar avait bel et bien été bombardé, mais qu'il ne s'agissait que d'une simple installation militaire. Fin avril, elle qualifiait de "ridicules" les données présentées par le renseignement américain.

Mais lors de la réunion du Conseil des gouverneurs de l'AIEA à Vienne, début juin, le représentant syrien, Ibrahim Othman, s'est gardé de dire qu'Al-Kibar n'était pas un site nucléaire. Cette omission a beaucoup attiré l'attention des diplomates occidentaux et des experts de l'Agence, qui pensent que Damas se ménage une position de repli au cas où de nouveaux indices de travaux nucléaires seraient découverts.

M.Othman a dit espérer que l'AIEA travaillerait "sans préjugés", assurant qu'il n'y aurait pas d'entraves à sa mission. Toutefois, selon des diplomates, l'AIEA n'a pas été autorisée à se rendre sur trois autres sites, en Syrie, qui éveillent des soupçons. Al-Kibar a été soigneusement dissimulé par la Syrie pendant des années. Une partie importante de l'installation était souterraine. Un toit et des murs de camouflage avaient été dressés, lui conférant un aspect cubique qui le banalisait. Les révélations sur Al-Kibar placent la Syrie en violation de ses obligations au regard du traité de non-prolifération nucléaire (TNP) qu'elle a ratifié en 1969, et des textes qui s'y rattachent : tout début de construction d'un site nucléaire civil doit en effet être déclaré à l'AIEA.

L'AIEA est elle-même placée dans une position délicate car l'affaire Al-Kibar peut être perçue comme une nouvelle illustration – après les cas libyen et iranien – d'une incapacité de l'Agence à détecter à temps des programmes nucléaires clandestins dans le monde. Signe des tensions que ce dossier suscite, le directeur de l'AIEA, Mohamed ElBaradei, a vivement protesté contre le bombardement israélien et contre la lenteur de la transmission de certains renseignements à l'Agence. Il a aussi déclaré, mardi 17 juin, que la Syrie n'avait pas "les ressources humaines qui lui permettraient de mener un programme nucléaire d'envergure".