25 août 2008
Y'a comme un bug
22 août 2008
Tous les essais OGM de Monsanto détruits en France
Pour moi c'est une bonne nouvelle... Et si on se mettait au naturel?
Selon Monsanto, pour la première année, "100% des essais" OGM lancés en France en 2008 par le semencier américain ont été détruits. Cette annonce intervient à la suite d'une nouvelle action des faucheurs volontaires vendredi dernier sur deux parcelles dans la Vienne. Selon eux, le maïs détruit était de type MON810, une espèce dont la culture et la commercialisation est officiellement interdite en France depuis février 2008. La préfecture a elle parlé "d'expérimentation sous le contrôle du ministère de l'Agriculture".
12 août 2008
Si ça peut s'arrêter là...
10h50 Moscou Le président russe Dmitri Medvedev annonce à l'antenne de la télévision nationale avoir "pris la décision" d'arrêter l'opération russe "visant à contraindre la Géorgie à la paix".
11h10 Moscou Le commandement russe annonce que les forces russes ont reçu l'ordre d'arrêter leur progression en Ossétie du Sud.
11 août 2008
Le pen vend à des chinois! MEGA L O L! A mourir de rire
Le Pen vend le siège du Front national à des Chinois
ReutersJean-Marie Le Pen annonce avoir signé une promesse de vente du Paquebot, le siège de son parti à Saint-Cloud, près de Paris, à une université de Shanghai.
"Nous avons signé une promesse de vente notariée avec une université de Shanghai", déclare le président du Front national confirme à L'Express.fr.
Selon Jean-Marie Le Pen, cette université chinoise voudrait transformer le bâtiment de 5.000 mètres carrés en école de perfectionnement de la langue française.
Le trésorier du parti avait évalué au début de l'année le bâtiment entre 15 et 20 millions d'euros mais le dirigeant du FN a préféré rester discret sur le montant de la transaction.
Vendredi, le président du FN avait seulement indiqué que la vente, susceptible de permettre à son parti de surmonter une grave crise financière, était "bien engagée."
La vente du siège du FN, si elle se conclut, viendra à point nommé pour sortir le parti d'extrême droite des difficultés financières qui s'accumulent depuis son mauvais score des législatives de 2007.
Plus des deux tiers des candidats du FN n'ont pas franchi en effet la barre de 5% des voix pour obtenir le remboursement de leur campagne par l'Etat, creusant ainsi les comptes du parti d'environ huit millions d'euros.
Fin juillet, Fernand Le Rachinel, un eurodéputé frontiste en conflit avec Jean-Marie Le Pen au sujet d'impayés, a fait saisir à titre conservatoire un compte bancaire du FN. Si ce dernier ne règle pas une dette de 892.759,69 euros, son avocat, Robert Apéry, menace d'assigner le parti en redressement judiciaire.
En outre, Fernand Le Rachinel, qui est imprimeur, a réclamé devant le tribunal de grande instance de Nanterre (Hauts-de-Seine) le paiement d'une dette d'environ sept millions d'euros correspondant à un prêt effectué lors de la dernière campagne législative. Le jugement a été mis en délibéré au 3 octobre.
Les russes se défendent... C'est la Géorgie qui a agressé!
La Russie a déployé une force de frappe impressionnante. Selon les autorités géorgiennes, environ 4 000 soldats auraient pris pied sur le port abkhaze d'Otchamtchyra dimanche. Au même moment, 6 000 hommes de la 58e armée russe, additionnée de "volontaires", prenaient le chemin de l'Ossétie du Sud par le tunnel de Roki, seul point d'accès à la république rebelle à partir de la Russie.
Les forces russes ont rapidement pris le contrôle de Tskhinvali, alors que les troupes géorgiennes se retiraient en direction du sud. Un second front s'est ouvert en Abkhazie, autre république rebelle soutenue par Moscou, alors que des bombardements russes étaient annoncés dans les gorges de Kodori, seule région abkhaze toujours contrôlée par Tbilissi. Le gouvernement séparatiste abkhaze a annoncé qu'une partie de son territoire était "en état de guerre" contre la Géorgie à compter de la nuit de dimanche à lundi. Moscou compte déployer 9 000 soldats supplémentaires en Abkhazie à compter de lundi.
En Ossétie du Sud, la question des réfugiés est préoccupante. Selon la Croix-Rouge, 40 000 personnes seraient déplacées, dont plus de 30 000 dans la seule Ossétie du Sud qui comptait, avant le conflit, 70 000 habitants. Les autorités ossètes évoquent le nombre de 1 600 morts, tandis que l'ambassade russe à Tbilissi parle "d'au moins 2 000 morts civils". Sur les ondes de la radio Echos de Moscou, Arkhan Djemal, un journaliste présent à Tskhinvali, affirme que "presque tous les hommes de 15 ans et plus participaient aux combats. Puisqu'ils étaient faiblement armés, beaucoup d'entre eux ont été tués par les forces géorgiennes".
"Toute l'Ossétie du Sud se trouve sous contrôle russe", affirme au Monde par téléphone Dmitri Sanakoiev, chef de l'administration provisoire progéorgienne dans l'enclave. Il ajoute : "Tskhinvali est totalement détruite. On parle de 1 500 morts. Près de 15 000 Géorgiens ont dû quitter leurs villages. Plus de 20 000 habitants ont quitté Tskhinvali, où il ne reste plus que les militaires russes et les bandes criminelles de Kokoïty ("président" prorusse de l'Ossétie)."
Les réfugiés ossètes se sont essentiellement retrouvés en Ossétie du Nord, côté russe. "L'évacuation des blessés est très difficile. Les infrastructures manquent, les autorités locales annoncent l'ouverture d'un second camp. Et le flux de réfugiés devrait augmenter dans les heures à venir", nous a confié par téléphone, Alan Tskourbaïev, journaliste à Vladikavkaz, la capitale régionale d'Ossétie du Nord. Pour sa part, le premier ministre russe Vladimir Poutine, de passage en Ossétie du Nord, a annoncé l'attribution par la Russie de 10 milliards de roubles (275 millions d'euros) pour la reconstruction des habitations à Tskhinvali et dans l'ensemble de l'Ossétie du Sud.
Les dirigeants russes ont eu des mots très forts pour qualifier l'intervention géorgienne. Reprenant l'expression de M. Poutine prononcée dimanche, le président Dmitri Medvedev a dénoncé un "génocide" perpétré en Ossétie du Sud.
"De la propagande", pour Giga Bokeria, vice-ministre géorgien des affaires étrangères. Dans un entretien téléphonique, M. Bokeria souligne que "l'enjeu n'est pas l'Ossétie ou l'Abkhazie, mais bien l'existence d'un Etat indépendant au sud de la frontière de la Russie. Pour celle-ci, détruire (le président) Saakachvili veut dire détruire la souveraineté géorgienne parce qu'il a été élu démocratiquement". M. Bokeria rappelle aussi " la fin de non-recevoir" opposée par les dirigeants ossètes aux engagements pris par Tbilissi de très large autonomie et d'amnistie pour les combattants.
Les bombardements russes se poursuivent depuis dimanche sur le territoire géorgien. Lundi à l'aube, des frappes aériennes russes ont touché une cible militaire à moins de 5 kilomètres de Tbilissi. " Les Russes ont bombardé des zones qui n'ont rien à voir avec les zones de combat, notamment près de l'aéroport de Tbilissi, dans le port pétrolier de Poti, ainsi qu'autour de Zougdidi", affirme M. Bokeria. " Toute la Géorgie est bombardée. L'armée russe a perdu treize avions, mais elle a mobilisé de gros moyens."
Des bâtiments russes mouillent l'ancre à la limite des eaux territoriales géorgiennes "pour venir en aide à la population russe" des régions séparatistes, selon Moscou. Affirmation contestée par Tbilissi, qui estime être sous le coup d'un embargo maritime. Dans la capitale géorgienne, certaines ambassades ont commencé à évacuer leurs ressortissants.
05 août 2008
génial comme négo!
Ou tu fais s'qu'on t'dit, ou on t'casse la gueule...
Voila les négociation à l'occidentale... Et après on s'étonne de se prendre des trucs dans la tronche...Nucléaire : un message de l'Iran à Javier Solana ?
L'entourage du chef de la diplomatie européenne affirmait n'avoir toujours pas reçu de réponse de Téhéran mardi matin, alors qu'un membre du Conseil suprême iranien de la sécurité nationale assure qu'un message a été remis mais que ce "n'est pas la réponse de l'Iran aux six nations".
Javier Solana, porte-parole de la diplomatie européenne (Reuters)
"Le message remis aujourd'hui n'est pas la réponse de l'Iran aux six nations", a déclaré cette source à l'AFP, sous couvert de l'anonymat, et sans apporter de précision sur le contenu de ce message.
L'entourage de Javier Solana avait indiqué lundi que le négociateur iranien sur le nucléaire, Saïd Jalili, fournirait mardi par écrit une réponse à l'offre des grandes puissances.
A Bruxelles l'entourage de Javier Solana a cependant assuré mardi en fin de matinée que "pour le moment, rien ne nous est parvenu".
"La dernière fois qu'un document nous a été remis, six heures ont passé entre le moment de l'annonce de son arrivée et sa remise, le temps de le traduire et de l'acheminer", a expliqué l'entourage de Javier Solana.
Les Six dans l'expectative
Les six grandes puissances impliquées dans les discussions sur le programme nucléaire iranien ont menacé lundi Téhéran de nouvelles sanctions après l'entretien téléphonique de Saïd Jalili et du chef de la diplomatie de l'Union européenne, jugé "peu concluant".
"La France comprend qu'un document écrit doit parvenir demain 5 août à Javier Solana, et espère que ce document apportera la réponse que la communauté internationale attend", avait indiqué lundi soir le ministère français des Affaires étrangères.
"En l'absence de réponse positive à l'offre des Six (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne, Allemagne), l'Iran devra alors faire face à de nouvelles sanctions", a averti le ministère français.
Les directeurs politiques des Six, réunis lundi matin en conférence téléphonique, ont convenu de "prendre d'autres mesures contre l'Iran" si Téhéran n'apportait pas une réponse positive "claire" à leur offre de coopération, selon le porte-parole du département d'Etat américain, Gonzalo Gallegos.
"La nation iranienne ne cédera rien"
Lors d'une rencontre avec Saïd Jalili, le 19 juillet à Genève, les cinq membres permanents du Conseil de sécurité et l'Allemagne avaient donné environ deux semaines à l'Iran pour répondre à leur offre et les Etats-Unis avaient averti Téhéran vendredi que les Iraniens iraient au-devant de "conséquences négatives" s'ils ne répondaient pas ce week-end.
Les grandes puissances ont offert une alternative à l'Iran: soit elle accepte la coopération et suspend ses activités controversées d'enrichissement de l'uranium, que les Occidentaux soupçonnent d'être destinées à acquérir l'arme nucléaire, soit elle fait face à des sanctions croissantes de la communauté internationale.
Le porte-parole de la diplomatie iranienne, Hassan Ghasghavi, a assuré que Téhéran avait "décidé de poursuivre la négociation avec une approche positive qui crée une atmosphère constructive".
Ses déclarations sont en contradiction avec la fin de non-recevoir opposée samedi par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad qui a affirmé que "la nation iranienne ne cèdera pas un pouce sur ses droits au nucléaire".